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Mise en avant des travaux de recherche de Mackrine Nahra, doctorante au L2n, par l’American Institute of Physics
Publié le 8 avril 2021
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Mis à jour le 8 avril 2021
Date(s)
le 7 avril 2021
Les travaux de recherche de Mackrine Nahra, doctorante au sein de l’unité de recherche Lumière, nanomatériaux & nanotechnologies (L2n UTT-CNRS ERL 7004), ont été mis en avant par l’American Institute of Physics – AIP, un des plus gros et des plus importants éditeurs de journaux scientifiques en physique, nanotechnologies et autres sujets du même domaine.
L’article de Mackrine ("Single germanium vacancy centers in nanodiamonds with bulk-like spectral stability"), publié dans AVS Quantum Science, a été choisi pour faire un SciLight ou SCIence highLight : https://aip.scitation.org/doi/full/10.1063/10.0004333
Les travaux de thèse de Mackrine, sous la direction de Christophe Couteau, portent sur la caractérisation optique de nanoémetteurs de lumière. Ces nanoémetteurs sont faits à partir de défauts uniques dans des nanodiamants. Elle a démontré pour la première fois que les défauts à base de germanium possèdent des propriétés optiques à l’état de l’art pour des applications en terme de technologies quantiques. Ces nanoémetteurs sont efficaces et émettent des photons uniques, un à la fois. C’est une propriété fondamentale pour pouvoir coder de l’information sur un photon unique ; on parle de bit quantique ou qubit dans ce cas.
Ces travaux sont importants car ils démontrent l’utilité d’intégrer ces nanodiamants à des structures photoniques plus complexes telles que des guides d’ondes en verre pour l’optique intégrée. Des techniques dites de nano-assemblage seront utilisées pour cela, elles sont une signature de l’unité de recherche L2n, et vont être utilisées pour des applications en calcul quantique dans un futur proche. L’idée est de faire un réseau de ces émetteurs entre eux pour effecteur des calculs quantiques de petits algorithmes.
Le financement de doctorat et le projet de thèse de Mackrine sont issus d’un projet européen de type Marie Curie : LIMQUET (https://blog.u-bourgogne.fr/limquet/), un projet qui vise à étudier les interfaces lumière-matière pour des applications en technologies quantiques.
Lire l’article: https://avs.scitation.org/doi/10.1116/5.0035937
Les travaux de thèse de Mackrine, sous la direction de Christophe Couteau, portent sur la caractérisation optique de nanoémetteurs de lumière. Ces nanoémetteurs sont faits à partir de défauts uniques dans des nanodiamants. Elle a démontré pour la première fois que les défauts à base de germanium possèdent des propriétés optiques à l’état de l’art pour des applications en terme de technologies quantiques. Ces nanoémetteurs sont efficaces et émettent des photons uniques, un à la fois. C’est une propriété fondamentale pour pouvoir coder de l’information sur un photon unique ; on parle de bit quantique ou qubit dans ce cas.
Ces travaux sont importants car ils démontrent l’utilité d’intégrer ces nanodiamants à des structures photoniques plus complexes telles que des guides d’ondes en verre pour l’optique intégrée. Des techniques dites de nano-assemblage seront utilisées pour cela, elles sont une signature de l’unité de recherche L2n, et vont être utilisées pour des applications en calcul quantique dans un futur proche. L’idée est de faire un réseau de ces émetteurs entre eux pour effecteur des calculs quantiques de petits algorithmes.
Le financement de doctorat et le projet de thèse de Mackrine sont issus d’un projet européen de type Marie Curie : LIMQUET (https://blog.u-bourgogne.fr/limquet/), un projet qui vise à étudier les interfaces lumière-matière pour des applications en technologies quantiques.
Lire l’article: https://avs.scitation.org/doi/10.1116/5.0035937
mise à jour le 08 avril 2021